Florence Phaneuf

Saint-Hyacinthe

1919 - 2020

À Verdun,  le 19 février  2020, est décédée à l’âge de 100 ans, madame Florence Phaneuf, fille de feu Uldéric Phaneuf et de feu Obéline Chaume. La défunte laisse dans le deuil ses neveux et nièces et plusieurs parents et amis. Enseignante de carrière, madame Phaneuf était la fondatrice de l’École secondaire  Saint-Joseph de Saint Hyacinthe. Les funérailles auront lieu le samedi 25 juillet 2020, en l'église de la Présentation à 14h, suivra l'inhumation au cimetière du même endroit.

Étant donné la pandémie,du Covid 19 qui se poursuit, la famille tient à appliquer rigoureusement les règles de distanciation et du port du masque pour l'occasion. Compte tenu des directives du Ministère de la santé, un nombre limité de 50 personnes sera accepté dans l'église.Toutes les personnes que se présenteront à l'église devront porter le masque.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Société de recherche sur le cancer – Fonds Andy & Léna Chabot (https://tinyurl.com/Fondschabot).

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2 messages reçus

  • J'offre mes plus sincères sympathies, en mon nom et en celui de ma famille ( Feu Normand Phaneuf). Florence a toujours été un exemple de positivisme et de sagesse et elle a eu une belle et longue vie. Je m'en souviendrai comme d'une femme pleine de tendresse et de bienveillance à l'égard des autres. Elle était notre doyenne. A toi Adrien, qui a pris soin d'elle ces dernières années, nous t'envoyons de bonnes pensées en ce moment difficile. Salutations, Annie Phaneuf

    — Annie Phaneuf
  • Un petit moment de curiosité et j'ai fait une recherche pour savoir ce qu'elle était devenue. . Je n'en reviens pas que cette personne ait vécu autant d'années. Elle était directrice de l'École secondaire St-joseph de St-Hyacinthe alors que je la fréquentais (1957-1960). Elle n'était pas toujours sympathique envers les étudiantes. Elle pouvait être cinglante, insultante, aigre, blessante, humiliante. Elle n'acceptait pas les coiffures hautes, dénigrait les femmes qui s'habillaient avec des manteaux de fourrure disant que c'était de s'abaisser d'utiliser la peau des animaux, disait que c'était de l'égoïsme de ne pas vouloir se marier pour pouvoir voyager à notre guise, etc. etc. Je me souviens du jour de la graduation, certaines filles avaient payé une coiffeuse pour arborer une coiffure à la mode de ce temps-là, chignon, coiffure surélevée derrière la tête et elle leur avait fait défaire cette coiffure....... grrrrr... Ah oui, elle nous faisait venir une par une pour nous demander si nous voulions entrer chez les bonnes soeurs et moi j'avais été catégorique :NON À partir de ce moment, elle n'arrêtait pas de me bouder. Ma mère m'avait dit que j'aurais dû être plus diplomate... oui elle avait bien raison. J'ai fait un Brevet A à l'Ecole normale Marie- Rivier de la Présentation. Première année d'enseignement (1964/65), j'ai un poste à l'École secondaire de Mont-Rolland près de Ste-Adèle. Ah ben ah ben... qui est directrice de la section des filles? ELLE.. Elle avait défroqué (je pense qu'elle attendait que sa mère décède) . Oh là .oh là ... elle portait une coiffure haute, un manteau de fourrure et a vite voyagé en Israël, en Terre Sainte entre autres. Elle ne m'a aucunement aidée: première année d'enseignement dans une classe de filles indisciplinées; je n'avais pas assez d'autorité; elle entrait dans la classe et me réprimandait devant les élèves, disait que c'était de ma faute si les filles chahutaient; elle m'a fait changer de matière à enseigner et finalement m'a incitée fortement à démissionner de mon contrat à plusieurs reprises , ce que j'ai fait en avril 1965, et je le regretterai toute ma vie. Mon père m'avait dit que c'était une erreur , qu'on devait respecter un contrat jusqu'à la fin. Bref, qu'elle repose en paix si elle le veut mais moi, je suis en PAIX. Je m'en fous d'elle. J'ai fait une merveilleuse carrière en enseignement: primaire, secondaire, adultes. Je ne me suis jamais mariée (mon choix; je me suis choisie) et je voyage dans plusieurs pays du monde en solitaire, mon orgueil et ma fierté de me débrouiller en solo partout où je veux. Je ne manque de rien. Que Dieu la bénisse, que Dieu nous bénisse, que Dieu vous bénisse! Amen. Voilà, j'ai dit ce que je pensais. J'espère qu'au moins UNE personne pourra me lire mais il est un peu tard . Plusieurs personnes qui l' ont connue ne sont peut-être plus de ce monde.

    — Francine C.